Terrible bac à sable...
Aujourd’hui, un article sur l’endroit craint par bon nombre de golfeur, l’endroit : « s’te plait n’y vas pas ! », « vole bon sang ! ». Le… BUNKER.
Primé au dernier festival d’Avoriaz, parce que ça fait peur. Il possède bon nombre de crises de tétanie à son actif : « un état d’hyperexcitabilité nerveuse et musculaire évoluant par crise ».
Et pourquoi ?
Parce que le golfeur moyen a du mal à accepter de frapper fort pour faire une petite distance.
Le plus souvent, le joueur décélère à l’impact et c’est la cata !
Souvent le club se plante dans le sol et se sera alors une « gratte », la balle vous proposera le plus souvent une seconde chance de montrer votre talent pour faire un beau château de sable.
Ou bien toujours en décélérant, le joueur soucieux de ne pas planter le club, car il en a vraiment marre de ne pas sortir de ce foutu bunker, va s’assurer de faire passer la tête de club plus haut que d’habitude.
Et oui ! Il pourra ainsi savourer le fait d’être sorti du sable en « top », histoire de se laisser une approche depuis l’autre coté du green cette fois.
Y en a marre !
Il semblerait donc qu’il est difficile de doser le sable à prendre.
Je vais donc vous donnez deux, trois conseils susceptibles de vous aider à moins « galérer » à la plage (sortie de bunker de green):
_On frappe d’abord le sable, jamais on ne touche la balle, c’est le sable entre la balle et la tête de club qui fait jaillir la balle.
_On ouvre la face du Sand-Wedge (la face du club pointe vers le ciel) et on s’aligne un peu à gauche de la cible. Et oui, quand on ouvre la face celle-ci vise à droite du trou, donc on s’aligne un peu à gauche pour compenser.
_On fait l’effort de bien accélérer dans le sable jusqu’au finish .
_Une bonne image est de prendre un nuage de sable sur lequel la balle serait posée.
En respectant ces quelques principes de base et en s’exerçant assez, histoire de prendre confiance, sortir d’un bunker à coup sûr ne devrait plus poser problème.
Alors, à vos pelles et rateaux!