La diversité...

Publié le par L'élu du Golf

Quel bonheur que chaque parcours soit unique, chaque nouvelle partie de golf est aussi un match entre l’architecte qui a pris le temps de dessiner chacun des obstacles et nous même qui tentons d’utiliser au mieux ce que l’on sait faire avec notre swing.

 Et ces artistes du dessin de parcours s’en donnent à cœur joie, chacun son style, pour notre plus grand bonheur.
On trouve ainsi l’architecture de parcours Britannique, qui propose très souvent beaucoup de solutions pour le petit jeu, notamment la possibilité de faire rouler la balle alors qu’étant assez loin du green.
 En effet, on y trouve des fairways extrêmement ras qui offrent la possibilité de putter dessus. Par contre il faudra y éviter les bunkers qui, tellement profonds, obligent parfois même d’en sortir par l’arrière.
C’est typiquement le style de parcours où se joue chaque année le British Open.
 Une autre particularité, et de taille, de ces parcours est le climat. Effectivement, la difficulté majeure est bien souvent d’avoir à y affronter le vent, la pluie et le froid, pas forcément agréable mais on se régale quand même.

 A contrario l’architecture Américaine propose un dessin très franc, de grands obstacles, que ce soit d’eau ou de sable. Les conditions climatiques y sont souvent optimum.
Les parcours sont manucurés, c’est « léché » comme on dit chez nous !

 Ces deux styles sont les opposés en termes de dessins de parcours, l’un est sauvage et appartient au décor alors que l’autre semble irréel. C’est un régal quoi qu’il arrive, chacun préférera sans doute un style plutôt qu’un autre, mais les deux valent le détour.

 Nous de toute manière on essayera, comme d’habitude, d’y faire le moins de coups possible !
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